Road Show TheFork : 1ère étape à Marseille !
Ce 14 juin, TheFork a lancé son « Road Show » dans le cadre de la réouverture des cafés-hôtels-restaurants (CHR).
L’Office Métropolitain de Tourisme et des Congrès de Marseille a accueilli cette première étape autour d’un petit-déjeuner débat avec les professionnels sur le thème de la transition digitale dans la restauration.
Si vous souhaitez en savoir plus sur le Road Show TheFork et découvrir les prochaines dates, c'est ici
"Le digital nous a permis de rester en lien avec nos clients (presse, visiteurs,...), et d’amorcer la reprise. On a accéléré la digitalisation de l’Office pendant le confinement. Une centaine d’opérations virtuelles nous a permis de garder le lien, y compris à l’international", explique en ouverture Maxime Tissot, Directeur Général de l'Office Métropolitain de Tourisme et des Congrès de Marseille.
Ces 15 derniers mois, le digital n’a jamais été autant ancré dans les habitudes des consommateurs. Il est aujourd’hui incontournable, indispensable ! - Damien Rodière, Directeur Général TheFork Europe de l'Ouest
La réouverture des restaurants est « robuste et rigoureuse ».
Premiers constats : les clients réservent beaucoup plus qu’avant, et en avance.
"On note plus de 60% des réservations sur la journée de réouverture des salles le 9 juin, et 46 % des restaurants ont rouvert leurs portes au public dès le 19 mai", précise Damien Rodière.
À Marseille, précisément, plus de 55 % des réservations ont été enregistrées par rapport à mai 2019. La plus grosse concentration des restaurants TheFork se note dans les 1er, 2ème et 6ème arrondissements. Les professionnels présents ont bien entendu eu un fort intérêt pour la réservation en ligne, qui permet de remplir son établissement. Soit en direct via la plateforme TheFork, qui travaille avec différents partenaires pour accroître la visibilité des restaurateurs, soit indirectement via le site internet ou les réseaux sociaux (Facebook, Instagram).
"Ne pas gérer la réservation permet au restaurateur de se concentrer sur son savoir-faire et sur l’expérience client" précise à juste titre Bastien Soots, Responsable Grands Comptes Michelin Restaurants.
Lancement de la solution TheFork PAY
Se digitaliser, c’est maximiser son trafic.
Différentes possibilités s’offrent aux utilisateurs de TheFork, comme la Carte Cadeau en ligne. L’avantage est de toucher plus de clients, sans coût supplémentaire. Les outils sont intuitifs, et personnalisés selon l’expérience client recherchée.
Autre intérêt des professionnels lors de ce petit-déjeuner débat : le respect des gestes barrières pour sécuriser leurs équipes, mais aussi les clients.
L’occasion pour Damien Rodière d’évoquer le lancement de la solution TheFork PAY : plus de 3 000 restaurants en France ont adopté le paiement sans contact. Une solution qui fait gagner du temps aux restaurateurs, et qui va continuer à être déployée auprès des 80 000 restaurants utilisant TheFork.
TheFork, c’est :
- + de 80 000 restaurants
- 22 pays
- 20 millions d’avis
- 29 millions de visites par mois
- 22 millions de téléchargements
Ils témoignent :
- Damien Rodière, Directeur Général Europe de l’Ouest :
« Avec TheFork PAY, plus de 3000 restaurants en France ont adopté le paiement sans contact »
"À la réouverture des restaurants, les outils digitaux ont pris une grande place auprès des professionnels, car le consommateur avait besoin d’être rassuré. Il demandait aussi au restaurateur ce qu’il avait mis en place pour garantir sa sécurité sanitaire. Avec le lancement de la solution TheFork PAY, plus de 3000 restaurants en France ont adopté le paiement sans contact. Une solution qui fait aussi gagner du temps, donc on va continuer à le mettre à disposition dans le futur. Le paiement est un moment clé au restaurant, si on peut rendre l’expérience encore plus agréable pour le client ou le restaurateur, tant mieux ! Également, il y a #TousAntiCovid, l’outil déployé par le Gouvernement pour faire savoir qu’on s’est rendus dans un restaurant. Pour simplifier l’usage et le travail du restaurateur, TheFork rappelle aux clients pendant tout le parcours de réservation qu’il faut notifier sa présence sur cette application. On remarque que le consommateur réserve beaucoup plus qu’avant, et en avance. Mais aussi que les clients qui viennent via notre application font moins de no-show que les autres. Pourquoi ? Car on a mis une batterie d’outils pour lutter contre ce fléau (rappels, simplifier l’annulation, identifier les clients...). Notre enjeu, c’est d’aider le restaurateur à développer son chiffre d’affaires."
- Ariel Lorin, Restaurateur au Café Borély à Marseille :
« On a des outils qui nous permettent de gérer la relation client de façon plus fine »
"Les outils digitaux prennent de plus en plus de place. Pendant longtemps, je pense qu’un certain nombre de restaurateurs ont géré avec des bouts de papier et des crayons, des blocs de commandes. On a eu une obligation de se mettre à jour au niveau des caisses, certains ont amené des services additionnels. On a des encaissements qui sont de plus en plus compliqués aussi, avec des tickets restaurant papier ou des titres restaurants en carte... On a déjà intégré naturellement ce type de solution. Avec TheFork Manager ou d’autres outils du marché qui permettent de gérer des cahiers de réservations digitaux, et ne plus avoir des plans de salle sur des papiers – amenant souvent à des erreurs, du stress... On a des outils qui nous permettent d’aborder ça avec plus de sérénité, et de gérer la relation client de façon plus fine, de dialoguer avec eux à travers des newsletters, des accueils plus personnalisés. Aujourd’hui, de tout évidence, ils font partie à mon sens, des outils dont on doit savoir se servir, et équiper les restaurants pour amener une valeur ajoutée à notre métier !"
- Pascal Garnier, Directeur de salle chez AM - Alexandre Mazzia à Marseille : « La liste d’attente permet d’éviter le no-show »
"Le digital nous a apporté un vrai confort. Avant, on prenait nos réservations, notre cahier ; aujourd’hui, elles tombent du ciel en quelque sorte. C’est le gros avantage du digital ; ces réservations arrivent toutes seules. Notre travail a un peu changé, on doit maîtriser ces outils pour qu’elles se passent le mieux possible. On n’a pas forcément de problème de remplissage, puisque le restaurant est aujourd’hui sous le feu des projecteurs ! Il faut gérer le flux de clients qui veulent venir, en ayant un nombre de places restreint. Ne pas oublier ceux qui sont déjà venus, et ceux qui veulent nous découvrir, le digital permet de le savoir. Une sélection un peu arbitraire, mais importante. (...) Également, on a mis en place des listes d’attente ! On est plein deux mois à l’avance, mais on peut se retrouver avec une mono-clientèle. Pour pallier ce phénomène, la liste d’attente donne la possibilité aux clients de venir à la dernière minute. Et de se dire ce n’est pas une non-réservation, mais c’est potentiellement une réservation. La veille de la réservation, on envoie un message pour les remercier, leur dire qu’il n’y a pas de place, et leur proposer éventuellement une autre date. Ce qui peut être une chance pour le client. La liste d’attente permet d’éviter aussi le no-show."
- Ippei Uemura, Gérant du Restaurant Tabi à Marseille :
« 75% des réservations se font via TheFork »
"Aujourd’hui, TheFork, ils sont très présents ! Ça fonctionne bien. Pour les clients, ils ont accès à plein d’offres et de promotions avec une facilité d’utilisation. En tant que restaurateur, je me sens protégé contre le no-show, notamment ; il y a des garanties. La plateforme a beaucoup de fonctionnalités, dont certaines que je ne maîtrise pas encore - d’où ma présence à ce petit-déjeuner débat. J’étais intéressé pour en savoir plus sur le paiement sécurisé. J’ai 3 façons de prendre mes réservations : 75% via TheFork, et le reste par téléphone et sur notre site Internet. Ça veut dire que les clients ont confiance en la plateforme."
- Joséphine Copigneaux, Directrice Marketing chez Werner & Mertz :
« Digitaliser c’est bien, encore faut-il avoir plein de choses à dire »
"Je pense qu’il faut construire un discours global, et crédible. Donner du contenu pour raconter des histoires sur le sujet. Car digitaliser c’est bien, encore faut-il avoir plein de choses à dire. Il faut nourrir. Quand on nourrit sa belle assiette avec ce qu’on fait autour, qui peut aller sur le domaine social, sur la santé ou sur la sécurité (...) C’est un peu ça pour moi le développement durable, c’est de créer des choses cohérentes, qui n’existaient pas avant, qui ont du sens. On se fait plaisir aussi ! C’est très valorisant, on peut entraîner ces équipes dans ces sujets-là, une manière de fidéliser quand on a un concept auquel les gens croient, et emmener ses clients. (...) Je pense qu’un restaurateur peut complètement s’éclater là-dessus en pensant ses achats avec une ouverture d’esprit, et en trouvant des solutions où il se dit « J’avance ». Autres exemples : réduction d’eau, d’énergie, les arts de la table, la lumière, le mobilier, les sols qui peuvent être enlevés, récupérés, réutilisés, des matériaux recyclables ou des surfaces plus simples à nettoyer... Il y a plein de choses à faire. On est tous liés, c’est ça l’éco-responsabilité ; on ne peut pas le faire tout seul, l’écosystème permet de faire la cohérence !"
- Maxime Tissot, Directeur Général de l'Office Métropolitain de Tourisme et des Congrès de Marseille :
« Les opérations virtuelles ont permis d’aller directement au contact de nos clients ou de nos prospects ! »
"Pendant le confinement, on a accéléré la mise en digitalisation de l’Office. Ce qu’on aurait pu faire en 2 ans, on l’a fait en 8 mois, car on était concentré sur ce sujet-là. On a donc tout passé en digital, et créé une plateforme de marché pour vendre l’ensemble des prestataires touristiques de la ville, d’Aix-en-Provence et du territoire. Et inversement, eux peuvent vendre aussi. L’idée est que le prestataire qui soit à Cassis ou Marseille ait un chiffre d’affaires augmenté par notre capacité à le commercialiser. En lieu et place d’une trentaine d’événements à l’international à l’année, on a réalisé une centaine d’opérations virtuelles, qui nous ont permis d’aller directement au contact de nos clients ou de nos prospects ! Ça va laisser des traces... Plutôt que de se déplacer une fois par an au Japon, on peut y être 4 ou 5 fois de façon virtuelle. Sur le secteur de l’hôtellerie-restauration, je pense que chacun doit faire son métier. À l’Office de Tourisme, on renseigne, on diffuse l’information, mais on n’est pas en capacité de créer des centrales de réservation, comme des géants comme TheFork qui existent. Il faut continuer à travailler avec eux..."
Retour en images sur l'évènement
Tout au long de l'évènement, de nombreux sujets ont été abordés tels que la digitalisation dans le secteur de la restauration, l'éco-responsabilité, la lutte contre le no-show, le paiement sans contact avec la solution TheFork PAY.
Retrouvez l'ensemble des sujets dans cette vidéo :